Amsebrid : Azul fellawen tanemirt nwenLaarvi : Salutations à les membres de mon village. Taindlest me manque.Amazir : Merci pour ce blog, je suis de taindlest par ma mère, d'agoulmime par mon père, mais j'ai vécu autant dans l'un que dans l'autre.dora-16 : azul felawenkabyle2506 : :'(kabyle2506 : azul felawen imarapassager : azulacenazef : azul felawen je veut vous envoyer une photo de taindlest mais je n'arrivepaskabyle : azul felwen e vivi la kabylie ie suis fiére d'etre une kabylie thanmirthnwn :D :DTaindlest : azul fellawen tanemirt nwenTaindlest : acenazef vous pouvez envoyer la photo de taindlest sur l email : LasseL33@live.com merci mon frere :Derichkigal : trés chaud au coeur je viens de découvrirmokrane ait lounes : Azul Felawen je vous souhaite une bonne année santé bonheur,bonne année 2016mokrane ait lounes : mokrane ait lounesnazef mohand : je souhaite avoir accée pour pauvoir es metre des poèmes d'avance merci nazef mohand santé bonheur
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Azul felawen, Bonjour à tous, Ait Lounes M je suis du village taindlest comune Ait KHILLI, comme a dit notre ami yahya, nous avons encore du chemin à faire voici une petite Reflexion Quand la souffrance atteint l’âme, Le sang dans le cœur devient tel des lames.
Que l’espoir soit un bonheur rempli d’amour que le futur épouse, Voici un récit que le présent m’impose.
A vous de juger ?
Au delà de moi, je cherche pendant que d'autres prône ma place, Obéir à un ordre caduc ironique, à blâmer, exécute et menace, Rien de quoi dire, j'ai fait de tout mon toit et un mot d'audace.
Tout de moi, rien ne va, j'ai oublié de penser à l'essentiel, Du paradis j'ai fait un jardin en friche, de l'enfer une place éternelle.
Qui suis-je, qui suis-je, moi qui reste à ce jour une voix sourde condamnée ? Une parole muette comme une craie noire, un souffle divin abandonné.
Exprime le deuil d'une vie tachée de sang par un récit noir, Comme un héritage légué au futur dans un confus espoir.
J’ose dire, oui j'ose dire, que je suis humain, que le malheur des autres fut aussi le mien, Moi l'égoïsme infini quand tout va bien je ferme les yeux je ne vois rien, je ne dis rien.
Pauvre de moi sur cette belle terre, j'ai fait de mon visage un étranger banni, Je le critique, je l'exploite comme un esclave et j'ose m’approprier le mot aimer.
cordialement Ait Lounes M.
La fierté d’être berbère
Les racines dont je suis née sont remplit de noblesse,
Avec honneur et fierté je cultiverai leurs richesses,
Un homme libre dès ce jour j’en fais la promesse.
Décrire et décrire encore pour exorciser ma souffrance,
Est celle d’un peuple qui de jour en jour s’enfonce, A cause d’une idéologie qui à détruit son enfance.
Pour donner du sens à ce récit je vous dicte une histoire,Celle d’un fou qui va dans un cimetière crier son espoir,En pensant dire la vérité, celle que la Morale doit savoir. Pour que dans la conscience surgit une atmosphère bien sincère, Deux, née de même mère ce reconnaîtront comme frères, Que le nom de leur ancêtre ne serra pas demain vulgaire. Mais hélas, la haine cultive le mal dans le jardin de son voisin, Ceci surtout s’il est sincère, faible, ignorant, et qui ne dit rien,Faisant de lui son valet et le nommant le sarrasin. Alors à tout ceux dont l’honneur et la dignité est le fruit de la conscience, La vérité est un germe rempli de noblesse, la seule valeur de la semence, Qui prend naissance des racines desquelles elles puisent toutes leurs force.
Car les racines d’un peuple sont la richesse de l’avenir,Sans elles ne serait-il pas un esclave condamner à souffrir…
Ait lounes La prophétie 2018 le venin viendra du ciel Dieu ! Que la raison l’emporteDieu ! Que la raison l’emporte de l’âme abstraite par ses larmes il ausculte l’horizon, Le paradis en flamme, l’esprit l’enfer le proclame, la peur règne dans les maisons,La mère ne sait que faire d’Abel et son frère qui ce blâme cela sans aucune raison.
Que dire de la foi qui est en dérive, la croyance est zen, elle prêche le mal et elle le cultive, Que dire de la haine qui a trouvé place dans le coeur de l’homme elle est heureuse de vivre,Que dire de la vérité qui à peur de mourir, la sagesse pleure se cache, se cache pour survivre.
Que dire de l’homme qui comme un vautour tourne autour et attend son tour, Que dire de l’homme, de ce microbe auteur, cet axe opté comme un promoteur, Que dire de l’homme de son venin créateur de cette frasque conçu par sa signature.
Ait Lounes Mokrane Poème le 21 / 12 / 2008Aït Lounes- MokraneTaverny (France, val d’Oise) Quoi de neuf docteur dans le pays ?
Rien mon cher ami pas de changement, l'argent vit toujours à sa guise,Le pouvoir, ha le pouvoir kif-kif, il va bien, plein à craquer de devise.
Le pauvre citoyen très malade, de plus en plus dans la misère s'enlise,Tout est cher en faisant le marché on y laisse même sa chemise.
Le seul rêve de la jeunesse est de fuir sans même prendre sa valise,A contre coeur de quitter ce paradis a la recherche de la terre promise
Le peuple ce qu'il pense ? Ha le peuple ! Parfois il pleure et parfois il danse...S'il en manque vingt ou mille on ne remarque pas leur absence.
Ha si pardonnez-moi, excusez-moi, il y a une bonne nouvelle officielle, On va construire une grande maison avec des fusés dressées vers le ciel.
A part ça, ça va il y a des hauts et il y a des bas, même si on ne sait pas ou on va.
Quoi de neuf docteur ? Rien, je suis malade.
Aït Lounes Mokrane. Azul felawen, Salam aleykoum, Bonjour à tousActuellement l'intégration est de la actualité Française, voici une réflexion,
Aït Lounes- Mokrane Taverny (France, val d’Oise) le 07 / 01 / 2010
Beurre je suis mais je ne viens pas de NormandieJ’aime la France, j’aime la France, même si avec elle je ne suis pas toujours d’accord, Pour exprimer ma souffrance je brûle les voitures dans mon quartier encore et encore.
J’aime la France, j’aime la France, même si je ne suis pour elle qu’un objet de contrefaçon, Les mots vulgaires pour moi sont comme des toasts, un moyen d’exprimer le ralbol à ma façon.
J’aime la France, j’aime la France, même si elle me considère comme l’un des quarante d’Ali Baba Je serais toujours le cavalier de l’eau de rose avec fierté je porterais mon burnous et ma chéchia.
J’aime la France, j’aime la France, même si je ne suis pour elle que sujet d’intégration, Je ne serais jamais un instrument sur le chemin néo-colonialiste assoiffé de promotion.
J’aime la France, j’aime la France, non pas celle que je vois comme une grande puissance,Mais celle que je voyais, grandeur, remplie de valeurs qui fut le rêve de mon enfance.
J’aime la France, j’aime la France, avec un rêve comme une énigme d’une flamme intense, A la place de l’étoile une grande mosquéeavec un minaret qui dominera toute la France.
Réflexion utopique et cynique, mais l’homme est comme un compte à rebours, S’il y a un début il y a aussi toujours une fin à sa folie des grandeurs.
Ait Lounes Mokrane
Azul felawen, Salam aleykoum,
Bonjour à tous, just une petite réflexion,
Mon âme pleure, ces larmes le déchirent
Comme un voile de soie tissée dans la misère,
Il cherche à comprendre, tout lui semble mystère
Sur le plus beau jardin que l’homme appel terre.
A vous de juger ?
Au delà de moi, je cherche pendant que d'autres prône ma place,
Obéir à un ordre caduc ironique, à blâmer, exécute et menace,
Rien de quoi dire, j'ai fait de tout mon toit et un mot d'audace.
Tout de moi, rien ne va, j'ai oublié de penser à l'essentiel,
Du paradis j'ai fait un jardin en friche, de l'enfer une place éternelle.
Qui suis-je, qui suis-je, moi qui reste à ce jour une voix sourde condamnée ?
Une parole muette comme une craie noire, un souffle divin abandonné.
Exprime le deuil d'une vie tachée de sang par un récit noir,
Comme un héritage légué au futur dans un confus espoir.
J’ose dire, oui j'ose dire, que je suis humain, que le malheur des autres fut aussi
le mien,
Moi l'égoïsme infini quand tout va bien je ferme les yeux je ne vois rien, je ne dis
rien.
Pauvre de moi sur cette belle terre, j'ai fait de mon visage un étranger banni,
Je le critique, je l'exploite comme un esclave et j'ose m’approprier le mot aimer.
Ait Lounes M.
Je rand hommage au courage et ce sang
verser pour la liberté
Je rand hommage au courage et ce sang verser pour la liberté
Je me souviens de ce jour du 28 septembre 1958, j’avais 9 ans,
D’un coté on a rassemblé les femmes et les enfants et de l’autre coté on a réuni
les hommes pour qu’ils aillent voter.
Il y a une image figée dans ma mémoire et qui
ne s’effacera jamais jusqu’à la fin de
ma vie.
Lorsque les rafales de mitraillettes raisonnèrent au milieu de la foule, ma
grand-mère tenait
Dans sa main gauche ma cousine et moi-même dans sa main droite.
Dans la cohue nous sommes tombés.
En nous relevant de notre chute, ma cousine et moi avions interverti nos
Places auprès de notre grand-mère.
A peine une poignée de secondes plus tard ma cousine retourne pour aller rejoindre
sa mère, s’effondra d’une balle en plein coeur à
la place qui était la mienne avant no
tre chute, elle avez quinze ans le bourgeons de
la jeunesse.
Suite à cela je me suis séparé de ma grand-mère ce n’est que quelques minutes plus
tard avec le retour d’un semblant de calme que j’ai pu rejoindre ma mère.
C’est alors seulement qu’elle me fit remarquer que ma jambe droite été ensanglantée.
Ce ne sera heureusement qu’une légère blessure.
Par ailleurs ce triste jour qui vit la mort de plusieurs membres du village, me
marqua également par le choc d’une jeune fille éventrée par une rafale de
mitraillette. Sa mère s’efforçait de lui retenir les organes qui sortaient de sa
plaie béante à l’abdomen pensant la sauver ainsi mais en vain. Il y eut aussi la
décapitation d’un nourrisson mort avec sa mère qui ne quittera jamais mon esprit.
Aït Lounes Mokrane
Mokrane Ait Lounes poesie Reflexion: La fierte d ètre berbere
Taverny le vendredi 27 juin 2008
Les racines dont je suis née sont remplit de noblesse, Avec honneur et fierté je cultiverai leurs richesses, Un homme libre dès ce jour j’en fais la promesse. Décrire et décrire encore pour exorciser ma souffrance, Est celle d’un peuple qui de jour en jour s’enfonce, A cause d’une idéologie qui à détruit son enfance. Pour donner du sens à ce récit je vous dicte une histoire, Celle d’un fou qui va dans un cimetière crier son espoir, En pensant dire la vérité, celle que la Morale doit savoir. Pour que dans la conscience surgit une atmosphère bien sincère, Deux, née de même mère ce reconnaîtront comme frères, Que le nom de leur ancêtre ne serra pas demain vulgaire. Mais hélas, la haine cultive le mal dans le jardin de son voisin, Ceci surtout s’il est sincère, faible, ignorant, et qui ne dit rien, Faisant de lui son valet et le nommant le sarrasin. Alors à tout ceux dont l’honneur et la dignité sont le fruit de la conscience, La vérité est un germe rempli de noblesse, la seule valeur de la semence, Qui prend naissance des racines desquelles elles puisent toutes leurs force. Car les racines d’un peuple sont la richesse de l’avenir, Sans elles ne serait-il pas un esclave condamner à souffrir…
Mokran Ait lounes
Réflexion sur le Maghreb, la Galette ou beur de l’Europe
La page blanche d’un poète
La pensee est figée, absente, elle manque de sujet, Le cœur pleur dans le lieu où il se sent étranger, La foi souffre, triste d’être le sacrifice d’un berger, Le corps ne fait que subir la torture de cette vie en viager, La plume écrit avec le sang de l'homme, devenu le sujet.
Mokrane Aït Lounes
Mokrane Ait Lounes-poésie:
La place des autres n’est jamais la notre
La place des autres n'est jamais la notre La fable de la conscience et de la morale, Dites madame la Conscience, pourquoi êtes vous si souvent égoïste, Vous ne pensez qu'a vous, vous ne vous gênez pas pour rendre les gens tristes. Vous madame la Morale qu'avez vous fait de si formidable, Pour m'accuser sans preuve de ne pas être fiable ? Madame la Conscience toutes ses guerres et toutes ses violences, Cela n'est pas un argument qui a une grande importance. Ha -ha madame la Morale votre nom vous va à merveille, qu'avez vous fait de bien qui vous semble essentielle ? Madame la Conscience vous me semblez perdre la mémoire, Vous oublier que je fut enfantée par la philosophie qui est l'espoir. Ha - ha madame la Morale maintenant je me souviens, Alors que je labourai ma souffrance avec sueur vous viviez bien. Madame la Conscience si demain l'histoire est avec nous amère, C'est parce que vous et moi dans le passé n'étions pas des juges sincères. la morale
Taverny le vendredi 27 juin 2008
Cette réflexion m'a été inspirée par le système
administration et le service hospitalier de mon pays Algérie:
Mokrane Ait lounes
Mokrane Ait Lounes-poésie:
La Souffrance, la souffrance et encore
la souffrance …
Il court et il court, et il a peur de sa maison Il cherche un endroit pour trouver le calme Vivre en paix et en harmonie en essuyant ses larmes Pour que la souffrance qui envoûte même ses nuits Ne devienne qu’un chardon au creux de ses pieds Il l'enlèverait le soir, avant de se coucher Par espoir que l’ignorance doctrine de la misère Ne soit que l'histoire d’un chapitre de guerre Le symbole du futur d’un génocide amer Du sacrifice d’un peuple qui a fini en jachère
Aït Lounes Mokrane
L’Amour la Haine et la Souffrance
Ce poème est dédié au peuple Algérien, Qui a tout mais ne possède rien. Seul ses yeux contemplent ce Paradis, Par espoir qu’un jour il en sera l’héritier. Hélas jusque ce jour il ne reçoit que des promesses, Angoissé, dans la misère il ne vit que dans le stress. Même le soleil qui fait partie de son trésor, Lorsqu’il apparaît il ne reste qu’un décor, A croire qu’à leur destin on a jeté un sort, De cultiver la haine, il la cultive encore. Et aujourd’hui même la jeunesse du futur, Elle perd les repaires, même le sens de l’Ecriture.
Aït Lounes Mokrane
L’amour la Haine et la Souffrance Tome 1
En tant qu’algérien du Maghreb, je suis fier de l’être, Porter le flambeau celui de mes ancêtre, Qui a travers l’Histoire défaites et gloires. Le flambeau brûle à ce jour même s’il est dans le noir. Car il est forgé de l’acier qui porte sa noblesse, De ce grand guerrier du nord qui possède une faiblesse, Que je vais vous citer d’une grande tendresse, Pour que le pardon ne soit plus une promesse, Mais un amour pur que la sagesse honore sans cesse. Deux frères qui se haïssent font de leur avenir un gage, Le présent est amer, ils vivent comme des sauvages, Les biens de leur ancêtre ils le vendent ou les saccagent. Deux frères qui vivent en harmonie construisent leur avenir, Ils savourent le présent rempli de beaux souvenir, Ils honorent le passé duquel ils seront fiers. Alors à tout ceux qui souhaitent que ce paradis devienne une puissance, Que sa place dans le monde brillera d’honneur par excellence, Et que nos enfants ne seront plus noyer dans la mer, mourant d’une mort atroce. Unissons nous pour que cela ne soit plus une référence.
je viens de lire ces beaux poemes agma et je dois te dire que j'etais emerveille parla qualite de ces mots tres magiques. Dieu t'a donne un don et je te compare a Si Moh u Mhend moderne. Nous sommes tres fiers de toi ou que nous soyons, car un simple etre humain issu d'un petit village des montagnes qui est Taindlest, qui peut emouvoir ses lecteurs du monde entier par des paroles aussi sublimes, et bien on te salue et puisse Dieu te protegera et que tu continuera a nous enrichir par cette merveilleuse poesie.
Je dois te demander des excuses au retour des vacances en 2006. On devrait se voir a la sortie du bateau a Marseille. Je me suis enfui car il y avait une famille islamique d'immigres en Angleterre qui voulait que je les emmene jusqu'a Londres. On s'est rate du vue sur la route du port jusqu'au centre ville. Merci encore pour le reman que tu m'avais donnees quand on faisait laqueue pour monter sur le bateau.
Personne ne pourra oublier les atrocites du 28 septembre 1958. J'avais moi-meme ans. J'avais recu toute la cervelle eclatee d'un enfant qui s'appelait si je me trompe pas, Negrouche Ouzien et de Boussad aussi ainsi que leur mere qui avaient ete cribles de balles francaises. Ma mere , en me voyant, avait cru que j'avais ete touche. J'etais sur le dos de ma belle soeur et puis tout le monde avait fui vers votre quartier qui semblait le plus sur. A partir de ce jour, j'avais eu de gros boutons autour de ma bouche et sur le menton. J'etais malade pendant de jours et des jours.
J'espere que nous garderons contact cette fois-ci.
Je te souhaite une tres longue vie pour pouvoir nous bercer par ta belle poesie.
Bien le bonjour a toi et a toute ta famille de ma part et de ma famille aussi.
Achal farhagh immikwalagh kkecht aq eddwayen ithkhadmedh. Moi c'est said nath seid, je suis actuellement au canada depuis 2004. celà m'a fait plaisir de prendre contact avec toi et smail, mes deux grands frères de référence quand j'etais jeune et jusqu'à l'heure actuelle. Oh! vous me donner à nouveau cette nostalgie, cette envie de vivre à nouveau ce qui m'est trés cher...J'espère qu'on restera en contact, s'il vous plait envoyez-moi un e_mail à thandlest@hotmail.com.
Azul a smail ,très touche de cette chaleur noble et sincere venons du coeur , et honore du complement ,pour notre rencontre 2006 oui c est rapide mais il y aura d'autre occasions ou on peut passer des bon moment nchallah , vola je t'offre ce petit poeme .A la memoire de ta mere (Attyarhem rebbi) celle qui a donner des hommes nobles a ce monde je suis fier d'etre du village taindlest ,jespere que la jeunesse ferons de l'avenir de notre village ,un beau jardin le quel deviendera un exemple, grand bonjour a toi et a toute ta famille et a tes amis et tout le village (tandlest) Mes sinceres salutation Nazef Mohand A Mokran
Maman, Maman chérie, ce noble nom me remplit de bonheur, Est pour moi divin, sa tendresse et son amour régénère mon cœur.
Maman chérie mon amour envers toi est comme la lumière du jour, Toi la fleur de mon âme qui a donné naissance à mon cœur.
Maman chérie mon amour envers toi est comme l’eau et le soleil, Même s’il représente la vie, c’est toi Maman qui est l’essentiel.
Maman chérie mon amour envers toi va au-delà de la pensée, Il coule à jamais dans mes veines il est tout simplement ma vie.
Bonne fête Maman
Poème 2008
Maman chérie comme chaque Année je suis heureux de t’écrire Ces quelques mots qui viennent du cœur, que j’espère te feront plaisir Comme le plus beau bouquets de fleurs, que je suis heureux de t’offrir A l’éclat de ton sourire que toutes les étoiles souhaitent acquérir A la douceur et la tendresse que les anges ont envie de saisir, A ton courage duquel tous les héros souhaitent rendre hommage A ta bonté remplit de noblesse honorée je suis de l’écrire sur cette page A ton Amour qui coule dons mes veines, le plus beau de tes messages, Bonne fête Maman
Azul Saïd agma , c'est un grand plaisir d'avoir de tes nouvelles, J'espere que lla santé va bien, Saïd il y a deux choses qui ne prennent jamais de rides, l'amour et le bonheur, Comme tu les a dans le coeur il sont en toi une source inépuisable. je souhaite qu'il en sera ainsi dans les coeursde tout les villages. j’espère venir cette année ou l'année prochaine si Dieu veut au Canada. cella me fera un grand plaisir d'être ensemble pour rappeler avec nostalgie d'autre fois. voila mon adresse Email pour toi et ceux qui souhaite me contacter : adden@live.fr
Azul a ta dartiw atina ahzizen afeliw, je dédie ce poéme a tout le village, j'esper qui remlira les couers de bonheur d'amour est de sagesse.
n
le CD ALOU ATIVIV IL EST SORTIR LE 15 12 2012 j'esoér qui portera honeur est valeur pour le village est la commune ait khillili est mon bon pays Al'gérie que j'aime
cordialement
nazef mohand amokrane
Poème Aimer et être aimé est le plus beau cadeau que la vie nous a donné. Aimer est un mot, dont j'aimerais sentir ne serait-ce, qu'un instant le parfum de son odeur, Avec les larmes de joie je le serrerais contre moi, il jaillira telle une source dans mon coeur, Depuis que l'amour m'a quitté, l'âme a déserté mon corps, elle ne fait que subir l'horreur de sa torture. Dieu qu'ai-je fait, moi qui lui ai donné mon coeur comme un Agneau au sacrifice, J'ai fait d'elle mon jardin, je l’ai choyé, pour qu'elle vive bien à sa guise, Je ne pensais point, que j'étais à ses yeux que le profit d'une matière grise. Mon cœur lui pardonne, car l’amour est un jardin cultivé par la divinité, Quelque soit la souffrance, on doit continuer à vivre avec respect et dignité, Porter le message qu’aimer et être aimé est la plus grande valeur que la vie nous a donné. Ait Lounes Mokrane
tres cher Mohand Said
je viens de lire ces beaux poemes agma et je dois te dire que j'etais emerveille parla qualite de ces mots tres magiques. Dieu t'a donne un don et je te compare a Si Moh u Mhend moderne. Nous sommes tres fiers de toi ou que nous soyons, car un simple etre humain issu d'un petit village des montagnes qui est Taindlest, qui peut emouvoir ses lecteurs du monde entier par des paroles aussi sublimes, et bien on te salue et puisse Dieu te protegera et que tu continuera a nous enrichir par cette merveilleuse poesie.
Je dois te demander des excuses au retour des vacances en 2006. On devrait se voir a la sortie du bateau a Marseille. Je me suis enfui car il y avait une famille islamique d'immigres en Angleterre qui voulait que je les emmene jusqu'a Londres. On s'est rate du vue sur la route du port jusqu'au centre ville. Merci encore pour le reman que tu m'avais donnees quand on faisait laqueue pour monter sur le bateau.
Personne ne pourra oublier les atrocites du 28 septembre 1958. J'avais moi-meme ans. J'avais recu toute la cervelle eclatee d'un enfant qui s'appelait si je me trompe pas, Negrouche Ouzien et de Boussad aussi ainsi que leur mere qui avaient ete cribles de balles francaises. Ma mere , en me voyant, avait cru que j'avais ete touche. J'etais sur le dos de ma belle soeur et puis tout le monde avait fui vers votre quartier qui semblait le plus sur. A partir de ce jour, j'avais eu de gros boutons autour de ma bouche et sur le menton. J'etais malade pendant de jours et des jours.
J'espere que nous garderons contact cette fois-ci.
Je te souhaite une tres longue vie pour pouvoir nous bercer par ta belle poesie.
Bien le bonjour a toi et a toute ta famille de ma part et de ma famille aussi.
Dendani Smail